Coloc se lève la tête dans le cul. Et traverse le salon, les cheveux fous se baladant sur son crâne.
Je sors, tout aussi fraiche, avec des cernes qui me mangent le visage.
Coloc : Salut.
Moi : Salut.
Coloc : Bien dormie ?
Moi : Non. Je pensais à trop de truc et il fait trop chaud.
Coloc : A quoi tu pensais ?
Moi : Au boulot. Et aux mecs. Au truc stressant et au truc manquant.
Coloc : Ah ouais. Dur.
Moi : Et toi, t'as bien dormie ?
Coloc : Non, carrément pas.
Moi : Pourquoi ?
Coloc : Y'a des trucs qui me prenaient la tête.
Moi : Quoi donc ?
Coloc : Ben le boulot. Et les mecs.
Moi : Evident.
Donc, solution : avant de me coucher, penser à tout sauf au boulot et aux mecs.
...
Chaud.
lundi 29 juin 2009
dimanche 28 juin 2009
Une soirée romantique
Loosers potentiels rencontrés : +1.
Oui, je m'obstine, et alors ?
Attention, âme sensible s'abstenir.
Invitée chez une soirée entre copines où, entre le plat principal et le dessert, on a parlé de sodomie (mais pourquoi, Good lord, cherchent t'ils toujours à entrer par effraction par la petite, ou grande, tout dépend, porte de derrière ?), entre autre, je m'en vais me connecter sur mon site préféré.
Là, un homme (Hey les filles venez voir) me parle.
Et me dit qu'il m'a déja vue.
Moi : Où ça ?
Lui : Le vendredi 12 juin à 18h32, dans telle rue (celle où j'habite).
Moi : ... Tu peux être plus précis ?
Enfin bref, c'était étonnant, car, il ne pouvait pas savoir mon adresse, et j'étais bien dans cette rue et dans cette tranche horaire.
Aprés être allée aux toilettes, mes copines en profitant pour changer mon statut facebook en " En train de sucer des queues... De cerises!", je rentre chez moi et apelle Monsieur l'observateur (oui, j'avais son numéro).
Assise sur le trottoir, j'apprends que nous sommes voisins.
Ben viens, retrouvons nous sur tel banc, et amène de la vodka steuplait.
Ce qu'il a fait.
Quand il est arrivé, j'ai vu un petit brun muy charmant, mignon et affable.
Ahlalala....
On s'installe sur un banc, il sort la bouteille de coca, contenant plein de vodka, et nous échangeons des mots jusqu'à 4h du matin et des poussières.
Les policiers entre temps sont passés et se sont arrêtés juste devant nous.
MC (Mignon Cuistot) me chuchote au creux de l'oreille : "Tu as tes papiers?"
...
Je crois que j'ai ma carte Séphora, ça ira ?
Mais 2 petits blancs qui boivent du coca ont peu de chance de se faire contrôler, n'est ce pas...
Bref, tout d'un coup, j'ai une envie folle de pisser.
Mais vraiment. J'ai quand même marché 10 minutes pour arriver jusque là.
MC me dit qu'il habite ici, juste en face du café où Tarentino a tourné une scène pour "Inglorious Bastards".
Ahlalalala....
Donc, je vais chez lui.
Oui, je sais.
On monte jusqu'au premier, j'avais déja commencé à déboutonner mon pantalon et je criais " Viiiiite, viiiiiiite !" (Classe intégrale).
Il me montre la salle de bain, je m' engouffre et au moment de baisser mon pantalon, je m'arrête net.
.
Qu'est ce qui m'a freiné tout de go ?
Les toilettes étaient décorées de merde.
Des petits cacas un peu partout.
ça m'a stoppé cash.
Puis j'ai eu envie d'éclater de rire.
Puis je ne l'ai plus du tout trouvé mignon, mais je l'ai imaginé en train de faire sa Valérie Damidot au fond des gogues.
Puis, j'ai quand même fait pipi, en faisant un rouleau protecteur de papier toilettes.
C'est bête, pourtant, tout le monde fait caca.
Mais ce n'est pas trés glamour de le rapeller de cette manière là.
Je l'ai rejoins dans le salon, l'air de rien.
J'arivais pas à m'empêcher de l'imaginer sur le trône.
De MC, on est passé à MC.
De Mignon Cuistot ... à Mignon Caca.
Enfin, je suis un peu restée, beaucoup partie.
A 5h 30 du matin.
Il n'y avait personne dans les rues, et le soleil se levait.
Pour le coup, c'était un beau moment.
Nous devions nous revoir le lendemain soir.
Mais Caca Boy ne m'a pas rapellé.
Peut-être que mon destin est de ne pas rester avec un homme qui laisse traîner ses étrons.
Peut-être...
Oui, je m'obstine, et alors ?
Attention, âme sensible s'abstenir.
Invitée chez une soirée entre copines où, entre le plat principal et le dessert, on a parlé de sodomie (mais pourquoi, Good lord, cherchent t'ils toujours à entrer par effraction par la petite, ou grande, tout dépend, porte de derrière ?), entre autre, je m'en vais me connecter sur mon site préféré.
Là, un homme (Hey les filles venez voir) me parle.
Et me dit qu'il m'a déja vue.
Moi : Où ça ?
Lui : Le vendredi 12 juin à 18h32, dans telle rue (celle où j'habite).
Moi : ... Tu peux être plus précis ?
Enfin bref, c'était étonnant, car, il ne pouvait pas savoir mon adresse, et j'étais bien dans cette rue et dans cette tranche horaire.
Aprés être allée aux toilettes, mes copines en profitant pour changer mon statut facebook en " En train de sucer des queues... De cerises!", je rentre chez moi et apelle Monsieur l'observateur (oui, j'avais son numéro).
Assise sur le trottoir, j'apprends que nous sommes voisins.
Ben viens, retrouvons nous sur tel banc, et amène de la vodka steuplait.
Ce qu'il a fait.
Quand il est arrivé, j'ai vu un petit brun muy charmant, mignon et affable.
Ahlalala....
On s'installe sur un banc, il sort la bouteille de coca, contenant plein de vodka, et nous échangeons des mots jusqu'à 4h du matin et des poussières.
Les policiers entre temps sont passés et se sont arrêtés juste devant nous.
MC (Mignon Cuistot) me chuchote au creux de l'oreille : "Tu as tes papiers?"
...
Je crois que j'ai ma carte Séphora, ça ira ?
Mais 2 petits blancs qui boivent du coca ont peu de chance de se faire contrôler, n'est ce pas...
Bref, tout d'un coup, j'ai une envie folle de pisser.
Mais vraiment. J'ai quand même marché 10 minutes pour arriver jusque là.
MC me dit qu'il habite ici, juste en face du café où Tarentino a tourné une scène pour "Inglorious Bastards".
Ahlalalala....
Donc, je vais chez lui.
Oui, je sais.
On monte jusqu'au premier, j'avais déja commencé à déboutonner mon pantalon et je criais " Viiiiite, viiiiiiite !" (Classe intégrale).
Il me montre la salle de bain, je m' engouffre et au moment de baisser mon pantalon, je m'arrête net.
.
Qu'est ce qui m'a freiné tout de go ?
Les toilettes étaient décorées de merde.
Des petits cacas un peu partout.
ça m'a stoppé cash.
Puis j'ai eu envie d'éclater de rire.
Puis je ne l'ai plus du tout trouvé mignon, mais je l'ai imaginé en train de faire sa Valérie Damidot au fond des gogues.
Puis, j'ai quand même fait pipi, en faisant un rouleau protecteur de papier toilettes.
C'est bête, pourtant, tout le monde fait caca.
Mais ce n'est pas trés glamour de le rapeller de cette manière là.
Je l'ai rejoins dans le salon, l'air de rien.
J'arivais pas à m'empêcher de l'imaginer sur le trône.
De MC, on est passé à MC.
De Mignon Cuistot ... à Mignon Caca.
Enfin, je suis un peu restée, beaucoup partie.
A 5h 30 du matin.
Il n'y avait personne dans les rues, et le soleil se levait.
Pour le coup, c'était un beau moment.
Nous devions nous revoir le lendemain soir.
Mais Caca Boy ne m'a pas rapellé.
Peut-être que mon destin est de ne pas rester avec un homme qui laisse traîner ses étrons.
Peut-être...
lundi 15 juin 2009
mardi 9 juin 2009
Voilà
Il y a des jours comme ça... Ou tu te dis. Et bien ça y est.
Je me sens comme une grosse merde.
Une conne.
M'a t'il pris pour une conne ?
L'ai je vraiment été ?
Je crois que c'est un peu des deux.
En fait, je cache ma connerie derrière une naiveté et une persistance à ne voir que le bon chez les gens.
ça me rapelle de mauvais souvenirs d'ailleurs...
Deux solutions.
Soit je ne veux pas voir le mal où bien tout ce qui se peut se cacher derrière. Alors, je ferme doucement les paupières et je dis : Ne t'inquiète pas, je ne le vois pas, le monstre, le chien, qu'il y a en toi.
Soit je ne le vois vraiment et sincèrement et simplement et connement pas.
Je suis incapable de le détecter.
J'ouvre les yeux et pourtant je ne vois que du rose, du blanc, du bleu.
Mais alors, comment aurais je survécu jusque là ?
Dieu a du voir à quel point je plane. Et comme je n'ai pas d'ailes et que je peux me casser la gueule à tout moment (et que voler sans ailes, c'est comme un plat de spaghettis sans boulettes,
c'est risqué), à défaut d'ailes, il m'a doté d'un cul incroyable.
Et je ne parle pas du volume, certes présent, de mon confortable derrière.
Mais du symbole qu'il incarne.
Ou de comment, quelques mois plus tard, en parlant à coeur ouvert, et un peu par hasard avec une amie, que...
Ah mais en fait ?....
Ah d'accord.
Il m'a menti.
Pipeau.
Pipeau.
Pipeau.
TUTUTUTUTUTUTU.
Moi, j'étais la blonde à côté qui écoutait. Et qui faisait : Oooh, c'est chouette cette musique.
Et je persiste en plus.
Mon égo à chu.
ça a fait : ploc ploc quand il est tombé en liquéfaction sur le sol.
ça m'apprendra.
Enfin, disons que la prochaine fois, je m'habituerais.
J'aime pas ça, moi, ce rôle de victime que cette histoire voudrait me faire jouer.
J'ai juste été naive.
C'est tout.
J'ai juste voulu croire en une amitié sincère et vraie.
Et pas à une pathétique utilisation de ma personne à des fins que j'ignorais hier encore, des bouts d'histoire se baladant dans le cosmos.
Vaut il mieux ne pas savoir ?
Parce que du coup, les moments passés n'ont plus la même couleur, ni la même odeur.
Comme s'ils avaient reçus une sale éclaboussure quand la vérité a été dite.
Maintenant, je joue à me faire des dialogues la prochaine fois que je verrais ce fieffé personnage.
C'est un truc que je fais souvent, m'imaginer des dialogues à l'avance avec quelqu'un.
ça ne se passe jamais comme je l'avais imaginé d'ailleurs.
Peut-être que dans ce genre de cas, le mieux, c'est d'éviter un dialogue.
Et de se tourner vers d'autres histoires, et d'autres personnes.
On verra.
On verra bien.
Je me sens comme une grosse merde.
Une conne.
M'a t'il pris pour une conne ?
L'ai je vraiment été ?
Je crois que c'est un peu des deux.
En fait, je cache ma connerie derrière une naiveté et une persistance à ne voir que le bon chez les gens.
ça me rapelle de mauvais souvenirs d'ailleurs...
Deux solutions.
Soit je ne veux pas voir le mal où bien tout ce qui se peut se cacher derrière. Alors, je ferme doucement les paupières et je dis : Ne t'inquiète pas, je ne le vois pas, le monstre, le chien, qu'il y a en toi.
Soit je ne le vois vraiment et sincèrement et simplement et connement pas.
Je suis incapable de le détecter.
J'ouvre les yeux et pourtant je ne vois que du rose, du blanc, du bleu.
Mais alors, comment aurais je survécu jusque là ?
Dieu a du voir à quel point je plane. Et comme je n'ai pas d'ailes et que je peux me casser la gueule à tout moment (et que voler sans ailes, c'est comme un plat de spaghettis sans boulettes,
c'est risqué), à défaut d'ailes, il m'a doté d'un cul incroyable.
Et je ne parle pas du volume, certes présent, de mon confortable derrière.
Mais du symbole qu'il incarne.
Ou de comment, quelques mois plus tard, en parlant à coeur ouvert, et un peu par hasard avec une amie, que...
Ah mais en fait ?....
Ah d'accord.
Il m'a menti.
Pipeau.
Pipeau.
Pipeau.
TUTUTUTUTUTUTU.
Moi, j'étais la blonde à côté qui écoutait. Et qui faisait : Oooh, c'est chouette cette musique.
Et je persiste en plus.
Mon égo à chu.
ça a fait : ploc ploc quand il est tombé en liquéfaction sur le sol.
ça m'apprendra.
Enfin, disons que la prochaine fois, je m'habituerais.
J'aime pas ça, moi, ce rôle de victime que cette histoire voudrait me faire jouer.
J'ai juste été naive.
C'est tout.
J'ai juste voulu croire en une amitié sincère et vraie.
Et pas à une pathétique utilisation de ma personne à des fins que j'ignorais hier encore, des bouts d'histoire se baladant dans le cosmos.
Vaut il mieux ne pas savoir ?
Parce que du coup, les moments passés n'ont plus la même couleur, ni la même odeur.
Comme s'ils avaient reçus une sale éclaboussure quand la vérité a été dite.
Maintenant, je joue à me faire des dialogues la prochaine fois que je verrais ce fieffé personnage.
C'est un truc que je fais souvent, m'imaginer des dialogues à l'avance avec quelqu'un.
ça ne se passe jamais comme je l'avais imaginé d'ailleurs.
Peut-être que dans ce genre de cas, le mieux, c'est d'éviter un dialogue.
Et de se tourner vers d'autres histoires, et d'autres personnes.
On verra.
On verra bien.
lundi 1 juin 2009
Comment lui dire
Oui, je sais.
Deux messages en un jour.
What the Fuck ?
What the Fuck ?
Ben, j'ai envie, voilà c'est tout.
C'est surtout que ça me semblait important.
De lui dire merci.
Je pense qu'elle se reconnaîtra.
Si jamais elle a un doute, je peux dire qu'à 5h et des poussières, assise dans mon jardin avec 4, 5 amis, totalement pétée, fatiguée, me prenant pour Arthus Bertrand à tenter de photographier les arbres, j'entend mon pote, tout aussi frais, me dire :
"Héééé, t'as vu, elle fait tout tout tout. T'as plus... Plus.. Plus r'en à faire maintenant... Héééé, il t'reste de la bière ?"
Là, j'lui ai dit non.
Et j'ai regardé faire cette petite personne qui effectivement, faisait tout.
Sans qu'on lui demande.
Qui ramasse les restes de la soirée, qui redonne un coup d'éclat au jardin.
C'est Léone la nettoyeuse.
Elle te plie les tentes, fait la bouffe, t'accompagnes acheter un billet de train, t'écoute râler contre les gens sans ciller.
Elle fait tout ça comme si c'était normal, sans demander merci.
Elle te dit que t'écoute de la musique de lesbiennes et ça te fait rire.
Elle t'offre un bouquin de survie en territoire zombie, parce qu'elle sait que t'en fais des cauchemars.
Dés fois, elle se prend même pour un vieil animateur de télé qui faisait pleurer les gens qui se retrouvaient aprés des années.
Elle est là quoi.
Ben justement, c'est ça qui est important.
Elle est là.
C'est pour ça que j'avais besoin d'écrire quelques mots, même si c'est pas grand -chose.
Parce que cette petite personne, elle a une place bien particulière.
Mais elle est pudique, et ça la gêne quand on lui dit des "merci" ou des "je t'aime".
Alors je lui écris.
Ma Petite Soeur, merci, de tout mon coeur, pour tout ce que tu as fait ce week end.
Tu sais que Je t'aime.
Je te transmet ces belles paroles d'une chanson que j'aime bien, et que j'écoute en ce moment.
Merci d'être là.
Merci...
You are my sister, we were born
So innocent, so full of need
There were times we were friends but times I was so cruel
Each night I'd ask for you to watch me as I sleep
I was so afraid of the night
You seemed to move through the places that I feared
You lived inside my world so softly
Protected only by the kindness of your nature
You are my sister And I love you
May all of your dreams come true
We felt so differently then So similar over the years
The way we laugh the way we experience pain
So many memories
But theres nothing left to gain from remembering
Faces and worlds that no one else will ever know
You are my sister And I love you
May all of your dreams come true
I want this for you
They're gonna come true.
You are my siser, Anthony and the Johnsons.
Demain
Alors demain, je vais traverser les grèves de train telle une vaillante aventurière (même pas peur) pour sauver la nation d'un péril certain.
Je vais bosser quoi.
Enfin, je sais pas encore.
Oui, non, mais comment dire.
Je n'ai pas de contrat de travail.
J'imagine la scène.
Moi.
Noob.
J'arrive devant....
"Et c'est en parvenant à l'entrée sombre de la forteresse de NESS que je saurais si le parchemin sacré de la connaissance me sera donné.
Ou pas.
Mes quêtes sont multiples et périlleuses.
Il faudra que j'affronte le DRHagon infernal qui garde les pièces d'or en lui plantant mon bâton de FD (Future Diplômée) dans la gueule, car j'ai quand même 7 poins de dégâts avec ça.
Après, je sortirais ma clé dorée pour accéder au cinquième niveau et récupérer de la force en buvant un bon Kawa avec mes alliés, qui me prodigueront leurs précieux conseils.
Et puis, en dernier ressort, je devrais trouver le grand mage, dans les limbes du labyrinthe du dernier monde, Administratorian.
Parce que le grand mage, même s'il est à l'arrache et ne comprends rien, il peut changer les règles du jeu et me donner, enfin, ma destinée.
Il a une espèce de gardienne bizarre qui répète indéfiniment les mêmes tâches.
Surtout, ne pas lui parler, car elle t'englues pour toujours dans le mode FRAF (Fonctionnaire Rien A Foutre), et après, tu ne peux pus bouger et tu peux mourir de faim."
...
Faut que j'arrête les jeux de rôles moi.
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