mardi 30 décembre 2014
MMM... C'est cela oui.
T'as vu un peu ce beau jouet de Wonder kids ? Vu chez super U. Le magasin des super culs.
Bon, déjà c'est un tiroir caisse. Avec du cash, mais sans boite, Y'a juste le tiroir.
Un signe annonciateur sans doute...
Ensuite, et c'est là que tu te dis qu'ils sont très forts/ très cons : donc "un tiroir caisse", avec comme slogan (tiens-toi à ton siège) : "Parce que je suis déjà une princesse."
Note la rime riche.
...
Putain les gars... Sérieux ?
Tu offres à une gamine un tiroir caisse en lui disant que c'est déjà une princesse ?
Je sais pas, un jouet à la con, mais qui fait un peu rêver, c'était trop demander ? Non seulement on a le message de la consommation de base déjà pré intégré dans les cadeaux, ensuite le cadeau selon le genre (rose dégueulis car c'est une fille), mais en plus on l'associe au statut de "princesse" ? ET donc, t'as pas de billet, t'es pas une princesse ? Genre t'es pauvre, tu as une sale robe, tu ne peux pas être une princesse ?
AH OUAIS ? Regarde les films de Disney, avec toute leur poésie, et tu verras que... Que... Ah... Oui...
En fait, les princesses de Disney, elles finissent toujours pétée de thunes, avec le bon mari qui a placé ses SICAV comme il faut et le combo robe/paire de louboutin qui va avec.
...
Hé bé....
Bon, j'ai quand même envie d'envoyer un petit message à tous ces créateurs qui mettent des idées formatées et superficielles dans la tête des petites filles :
Et bonne année !
mardi 9 décembre 2014
Alors celle là !
Cela fait déjà un petit moment que j'ai fait une croix dessus.
Je parle de ma dignité.
D'où ma non-gêne à vous raconter, chers lecteurs, la cocasse situation que j'ai vécu dans la rue il y a quelques jours.
Tu vas voir, c'est fendard.
Il est environ minuit, je rentre seule, sortant du métro.
Devant moi, deux types à capuches.
J'étais grave dans mon monde, pensant à un milliard de trucs.
Et puis, j'ai une légère envie de péter.
Bon.
Les types à capuches sont devant moi, à quelques mètres, mais j'ai un collant + un pantalon + un gros gilet en laine qui descend aux genoux + mon manteau.
Et ça fait pas mal de barrières quand même.
Donc je me dis : allez zou, je serre un peu les fesses, il va passer comme une lettre à la poste.
Sauf que le traître a fait l'effet d'une explosion : une sorte de PAAAAA ! Comme une bombe.
Non mais même moi ça m'a fait sursauter.
Les deux types à capuches se sont retournés vers moi, les yeux écarquillés.
Là, j'ai fait "Palapalapaaaa", avec ma bouche, histoire de créer la confusion.
Ils m'ont regardé encore plus bizarrement, et la seule chose que j'ai trouvé à faire...
Courir comme une dératée dans l'autre sens.
En espérant ne plus jamais les croiser de ma vie.
Je parle de ma dignité.
D'où ma non-gêne à vous raconter, chers lecteurs, la cocasse situation que j'ai vécu dans la rue il y a quelques jours.
Tu vas voir, c'est fendard.
Il est environ minuit, je rentre seule, sortant du métro.
Devant moi, deux types à capuches.
J'étais grave dans mon monde, pensant à un milliard de trucs.
Et puis, j'ai une légère envie de péter.
Bon.
Les types à capuches sont devant moi, à quelques mètres, mais j'ai un collant + un pantalon + un gros gilet en laine qui descend aux genoux + mon manteau.
Et ça fait pas mal de barrières quand même.
Donc je me dis : allez zou, je serre un peu les fesses, il va passer comme une lettre à la poste.
Sauf que le traître a fait l'effet d'une explosion : une sorte de PAAAAA ! Comme une bombe.
Non mais même moi ça m'a fait sursauter.
Les deux types à capuches se sont retournés vers moi, les yeux écarquillés.
Là, j'ai fait "Palapalapaaaa", avec ma bouche, histoire de créer la confusion.
Ils m'ont regardé encore plus bizarrement, et la seule chose que j'ai trouvé à faire...
Courir comme une dératée dans l'autre sens.
En espérant ne plus jamais les croiser de ma vie.
lundi 3 novembre 2014
L'acte du jour
J'ai vomi dans la voiture de mon directeur.
C'est pas donné à tout le monde de dire ça.
C'est pas donné à tout le monde de dire ça.
vendredi 24 octobre 2014
Tout va bien
J'ai rêvé qu'une chenille géante mangeait des gens dans un cinéma.
A part ça, tout va bien.
A part ça, tout va bien.
lundi 13 octobre 2014
Le drame du jour
Bon je sais que tu penseras peut-être que je suis cacaphile, mais pas du tout.
C'est juste que le popo, parfois, c'est rigolo.
Mais pas toujours.
Là présentement, je suis dans un appart city : un genre d'hôtel où ils te font croire que tu es comme chez toi, à la maison, avec tout dans ta chambre pour vivre tout seul comme un grand.
MON CUL OUAIS !
Non mais écoute bien, là, présentement, dans cet appart city de mes couilles, dans cette ville que je nomme Valence, il est 23h26, je viens d'aller aux toilettes pour faire quelque chose dont j'ai méga honte, et quand j'ai voulu tirer la chasse : RIEN !
PAS D'EAU !
AAAAAAAh !
J'ai commencé à courir paniquée dans l'appart city en essayant les robinets : rien !
J'ai tapé sur le chauffe eau : j'ai eu mal !
J'ai voulu ouvrir le cabinet : mauvaise idée !
Je suis descendue à l'accueil en pyjama : il y a un russe qui ne parle pas français et qui pue des pieds et qui m'a dit : moi pas travaillé !
J'ai téléphoné au numéro d'urgence : là le mec m'a dit : heu oui je sais, demain matin à 8h00 y'aura de l'eau.
MAIS JE ME BARRE A 8 Heures!
Je lui ai dis : "Ecoutez, je ne vous connais pas, je sais que vous n'êtes pour rien dans cette affaire, que vous êtes payé sûrement une misère pour écouter des gens se plaindre toute la nuit, qu'il y a des personnes qui meurent ailleurs dans le monde en ce moment même, mais comment vous dire, oh et puis zut je vous le dis : je suis allé faire caca et je ne peux pas tirer la chasse et je me sens très mal maintenant vous comprenez ? Je fais comment ? Je le prends dans mes mains et je le jette par la fenêtre ?"
...
Il a explosé de rire
"Non je suis sérieuse, mettez vous à ma place, c'est horrible !"
"Hihihi"
"Arretez de rire."
"Hihihi, pardon. Je hihihi je suis désolé hihihi, je comprends hihihi."
Putain !!!!!!
I fucking hate you !
Appart city tu es le mal !
C'est juste que le popo, parfois, c'est rigolo.
Mais pas toujours.
Là présentement, je suis dans un appart city : un genre d'hôtel où ils te font croire que tu es comme chez toi, à la maison, avec tout dans ta chambre pour vivre tout seul comme un grand.
MON CUL OUAIS !
Non mais écoute bien, là, présentement, dans cet appart city de mes couilles, dans cette ville que je nomme Valence, il est 23h26, je viens d'aller aux toilettes pour faire quelque chose dont j'ai méga honte, et quand j'ai voulu tirer la chasse : RIEN !
PAS D'EAU !
AAAAAAAh !
J'ai commencé à courir paniquée dans l'appart city en essayant les robinets : rien !
J'ai tapé sur le chauffe eau : j'ai eu mal !
J'ai voulu ouvrir le cabinet : mauvaise idée !
Je suis descendue à l'accueil en pyjama : il y a un russe qui ne parle pas français et qui pue des pieds et qui m'a dit : moi pas travaillé !
J'ai téléphoné au numéro d'urgence : là le mec m'a dit : heu oui je sais, demain matin à 8h00 y'aura de l'eau.
MAIS JE ME BARRE A 8 Heures!
Je lui ai dis : "Ecoutez, je ne vous connais pas, je sais que vous n'êtes pour rien dans cette affaire, que vous êtes payé sûrement une misère pour écouter des gens se plaindre toute la nuit, qu'il y a des personnes qui meurent ailleurs dans le monde en ce moment même, mais comment vous dire, oh et puis zut je vous le dis : je suis allé faire caca et je ne peux pas tirer la chasse et je me sens très mal maintenant vous comprenez ? Je fais comment ? Je le prends dans mes mains et je le jette par la fenêtre ?"
...
Il a explosé de rire
"Non je suis sérieuse, mettez vous à ma place, c'est horrible !"
"Hihihi"
"Arretez de rire."
"Hihihi, pardon. Je hihihi je suis désolé hihihi, je comprends hihihi."
Putain !!!!!!
I fucking hate you !
Appart city tu es le mal !
vendredi 10 octobre 2014
la mytho du jour
Je dois animer une formation toute la journée.
Dans le train qui m'emmène, j'ai un mal de ventre qui me tord les boyaux.
Je vais aux toilettes, c'est l'hécatombe.
Arrivée à la gare, je vais à la pharmacie. J'explique mon problème.
Pharmacienne pragmatique : "Vous voulez tout faire sortir d'un coup ou tout boucher ?"
Moi "Ben en fait, je dois tenir toute une journée, donc j'opte pour le bouchon."
Malgré le plâtre que j'ai avalé pour bloquer la sortie basse de mon corps (vulgairement appelé "trou de balle"), je suis allée aux toilettes 6 fois dans la journée.
J'avais le bide dur et gonflé et je transpirais beaucoup.
L'une des participantes me regardait, souriante, et m'a dit, devant tout le monde : "Vous l'êtes depuis quand ?"
Oh putain... Elle pense que je suis enceinte. Je peux pas lui dire : "Ba non, c'est pas un bébé qu'il y a dans mon bide, mais du caca mou incontrôlable."
Du coup, j'ai répondu :
"... Depuis 2 mois et demi environ."
Voila.
Ou comment faire croire que je suis enceinte alors que j'avais juste la diarrhée.
Dans le train qui m'emmène, j'ai un mal de ventre qui me tord les boyaux.
Je vais aux toilettes, c'est l'hécatombe.
Arrivée à la gare, je vais à la pharmacie. J'explique mon problème.
Pharmacienne pragmatique : "Vous voulez tout faire sortir d'un coup ou tout boucher ?"
Moi "Ben en fait, je dois tenir toute une journée, donc j'opte pour le bouchon."
Malgré le plâtre que j'ai avalé pour bloquer la sortie basse de mon corps (vulgairement appelé "trou de balle"), je suis allée aux toilettes 6 fois dans la journée.
J'avais le bide dur et gonflé et je transpirais beaucoup.
L'une des participantes me regardait, souriante, et m'a dit, devant tout le monde : "Vous l'êtes depuis quand ?"
Oh putain... Elle pense que je suis enceinte. Je peux pas lui dire : "Ba non, c'est pas un bébé qu'il y a dans mon bide, mais du caca mou incontrôlable."
Du coup, j'ai répondu :
"... Depuis 2 mois et demi environ."
Voila.
Ou comment faire croire que je suis enceinte alors que j'avais juste la diarrhée.
dimanche 29 juin 2014
La citation du jour
- " Maman, pourquoi il n'y a pas de ceintures dans le train ?"
- "Ma chérie, si on a un accident, tu n'auras pas besoin de ceintures, crois-moi."
- "Ma chérie, si on a un accident, tu n'auras pas besoin de ceintures, crois-moi."
lundi 16 juin 2014
La drague du jour
J'étais dans le couloir, vide, quand surgit devant moi un chariot recouvert d'un drap blanc et poussé par un homme.
Et ouais, quand tu bosses dans un hôpital, ça fait partie du paysage.
Bref, le couloir étant étroit, je me plaque contre le mur.
Le mec passe avec son cadavre, il mâchait un chewing-gum bouche ouverte et faisait beaucoup de bruit.
Et quand il arrive à ma hauteur, il me regarde, me fait un clin d'oeil appuyé et une sorte de duck face libidineuse.
...
Mec, tu es juste en train de pousser un cadavre et tu imagines des trucs avec moi !
J'ai cru qu'il allait s'arrêter, poser ses coudes sur le brancard et tailler une bavette.
Et moi, plaquée contre le mur, faisant un sourire archi méga gênée.
Ahlala, je te jure.
Je veux bien qu'on pense à la reproduction de l'espèce humaine, la faute aux hormones tout ça, mais un peu de formalités, ça ferait pas de mal.
Non mais flûte quoi.
vendredi 13 juin 2014
Le petit bonheur du jour
J'avais l'impression d'avoir plein de pellicules sur l'épaule, mais en fait, c'était juste le tissu de mon sac qui s'effritait.
Bon, adieu le sac, je fouille à la recherche d'un autre sous mon lit.
J'en chope un, un vieux en toile que j'ai pas utilisé depuis 2 ans et qui fera très bien l'affaire.
Alors, je le vide et là, ouuuuuh mazette !
J'ai retrouvé 90 euros en liquide !
Allez, une petite danse de la victoire ça fait longtemps.
Bon, adieu le sac, je fouille à la recherche d'un autre sous mon lit.
J'en chope un, un vieux en toile que j'ai pas utilisé depuis 2 ans et qui fera très bien l'affaire.
Alors, je le vide et là, ouuuuuh mazette !
J'ai retrouvé 90 euros en liquide !
Allez, une petite danse de la victoire ça fait longtemps.
vendredi 6 juin 2014
Le truc de "je reviens sur le blog" du jour
Je dors dans le métro, la tête penchée contre la vitre.
Et je rêve.
(Je rêve à chaque fois que je dors en fait).
Je rêve qu'un transsexuel est assis face à moi. Un homme avec une robe jaune.
Il est très gentil.
Il me dit qu'il veut se faire opérer.
Je dis : "Mais pourquoi tu veux te faire enlever ton pénis ?"
J'entends un rire gêné près de moi.
Je me réveille.
Je vois que les gens assis autour de moi, dans le métro, me regarde, amusés.
...
Je viens de parler à haute voix.
...
Voilà, voilà.
Et je rêve.
(Je rêve à chaque fois que je dors en fait).
Je rêve qu'un transsexuel est assis face à moi. Un homme avec une robe jaune.
Il est très gentil.
Il me dit qu'il veut se faire opérer.
Je dis : "Mais pourquoi tu veux te faire enlever ton pénis ?"
J'entends un rire gêné près de moi.
Je me réveille.
Je vois que les gens assis autour de moi, dans le métro, me regarde, amusés.
...
Je viens de parler à haute voix.
...
Voilà, voilà.
jeudi 2 janvier 2014
Commencer par rompre avec le passé
Une année qui commence, Une histoire qui se finit.
On dit qu'il faut toujours écouter son coeur, mais ce n'est pas une science exacte hein.
Et puis, ne peut-il pas faire des erreurs, comme tout le monde ? Parce que si je n'ecoutais que mon coeur, je continuerai cette histoire, malgré tout ce qui ne va pas.
Et puis il y a les signes.
Ces petites choses infimes qui se cachent dans les tissus du jour.
Par exemple, ce matin. Après avoir relaté a essai numéro deux les ultimes échanges avec celui qui se range désormais dans la catégorie "ex", je prends mon bouquin que j'ai quelques peu délaissé, ouvre une page au hasard et je tombe sur une phrase, page 71 :
"Ce n'est vraiment pas un homme fiable, fit Polgara en lorgnant le capitaine d'un oeil noir".
No deconning.
La première phrase.
Je suis restée sur mon auguste seant (sur le cul quoi).
C'est surprenant.
Tu peux te dire que c'est le hasard mais finalement..
Et si le hasard était un pseudonyme que le destin emprunte pour passer incognito ?
Quelques jours encore ou je penserais à ce pauvre mec (il a pas aimé que je lui dises d'ailleurs) et je vais guérir.
On dit qu'il faut toujours écouter son coeur, mais ce n'est pas une science exacte hein.
Et puis, ne peut-il pas faire des erreurs, comme tout le monde ? Parce que si je n'ecoutais que mon coeur, je continuerai cette histoire, malgré tout ce qui ne va pas.
Et puis il y a les signes.
Ces petites choses infimes qui se cachent dans les tissus du jour.
Par exemple, ce matin. Après avoir relaté a essai numéro deux les ultimes échanges avec celui qui se range désormais dans la catégorie "ex", je prends mon bouquin que j'ai quelques peu délaissé, ouvre une page au hasard et je tombe sur une phrase, page 71 :
"Ce n'est vraiment pas un homme fiable, fit Polgara en lorgnant le capitaine d'un oeil noir".
No deconning.
La première phrase.
Je suis restée sur mon auguste seant (sur le cul quoi).
C'est surprenant.
Tu peux te dire que c'est le hasard mais finalement..
Et si le hasard était un pseudonyme que le destin emprunte pour passer incognito ?
Quelques jours encore ou je penserais à ce pauvre mec (il a pas aimé que je lui dises d'ailleurs) et je vais guérir.
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