Je vais faire ce pourquoi je sens que je suis là.
Jouer.
Tous les soirs.
Le rêve....
L’histoire…
Lorsque le notaire Lebel fait aux jumeaux, Jeanne et Simon MARWAN, la lecture du testament de leur mère Nawal, il réveille en eux l'incertaine histoire de leur naissance : qui donc fut leur père, et par quelle odyssée ont-ils vu le jour loin du pays d'origine de leur mère ? En remettant à chacun une enveloppe, destinées l'une à ce père qu'ils croyaient mort et l'autre à leur frère dont ils ignoraient l'existence, il fait bouger les continents de leur douleur : dans le livre des heures de cette famille, des drames insoupçonnés les attendent, qui portent les couleurs de l'irréparable. Mais le prix à payer pour que s'apaise l'âme tourmentée de Nawal risque de dévorer les destins de Jeanne et Simon.
Lorsque le notaire Lebel fait aux jumeaux, Jeanne et Simon MARWAN, la lecture du testament de leur mère Nawal, il réveille en eux l'incertaine histoire de leur naissance : qui donc fut leur père, et par quelle odyssée ont-ils vu le jour loin du pays d'origine de leur mère ? En remettant à chacun une enveloppe, destinées l'une à ce père qu'ils croyaient mort et l'autre à leur frère dont ils ignoraient l'existence, il fait bouger les continents de leur douleur : dans le livre des heures de cette famille, des drames insoupçonnés les attendent, qui portent les couleurs de l'irréparable. Mais le prix à payer pour que s'apaise l'âme tourmentée de Nawal risque de dévorer les destins de Jeanne et Simon.
La critique…
(Rédigée par moi, donc hautement et purement objective bien sur)
" INCENDIES " est une de ces pièces qui souffle le spectateur, cet instant qui précède l'explosion et qui caresse le visage d'une tiède chaleur.
Née d'un Travail de Fin d'Etude (TFE) au Cours Florent durant l'année 2008, elle bénéficie de l'aura de son créateur Wajdi MOUAWAD. La mise en scène, guidée par la présence de 18 comédiens, rend avec fidélité l'essence même du texte, et emmène avec grâce dans un monde déchiré par la guerre, la haine et la violence. Pièce primée, elle se rejouera ainsi durant la troisième semaine de mars 2009, au sein du Cours Florent, et permettra à tous de retrouver une écriture qui sublime chaque mot, chaque image, chaque parole, et chaque geste.
Si on devait prendre un seul mot pour englober cette histoire?
" Vérité."
Car c'est bien vers cette vérité que le chemin nous est montré.
La quête d'apprendre, pour sortir de la misère, le besoin vital de savoir d'où l'on vient, et de connaître ses origines.
Découvrir son passé pour construire son avenir.
Pardonner, pour mieux revenir.
Aimer, enfin.
Un concentré de vies en quelques heures, quelques minutes, quelques secondes
Pour se souvenir qu'une existence est une flamme fragile, qui peut s'embraser et détruire le monde, ou bien le rêver et réchauffer son âme, son esprit et son coeur.
"Ne haïr personne, jamais. La tête dans les étoiles, toujours."
3 commentaires:
ouééé la presse est dythyrambique !
et les célébrités aussi !!!
j'ai relevé dans la presse :
"trop de la balle" (Kurt Cobain)
"j'ai été scotchée au mur" (Lady Di)
"nom de Dieu !!" (l'Abbé Pierre)
"ca déchire sa race" (Jean-Paul II)
"j'en ai eu les jambes sciées" (Guillaume Depardieu)
"ca donne faim" (Carlos)
et j'en passe !
Personnellement, j'étais à la représentation de jeudi 19.
Et ben franchement, "ça déchire sa mère" comme disent les djeuns !
Les acteurs étaient au top, l'histoire est tout simplement bouleversante... Les greluches dans mon genre n'ont pas pu s'empêcher de verser une (voire plusieurs) larme(s).
Sinon, ElgJyn, tu es passé à côté de quelques critiques :
" C'est fumant !" (Alain Bashung)
" Ca troue le cul." (Patrick Dewaere)
Merci d'avoir retransmis toutes ces critiques Elgjyn, je te trouves en plus particulièrement fidèle à la réalité.
Merci à ma Mathilde d'avoir été là.
T'es pas une greluche.
Juste réceptive à "une histoire, une douleur qui est tombé à tes pieds"...
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