Lui - "J'aimerais beaucoup entrer par ta porte des artistes."
Moi - "... Heu... Est ce que ça veut dire que tu aimerais me sodomiser ?"
Lui - "Oui."
Moi - "... C'est non. Et tu peux passer par la porte de service pour sortir."
lundi 29 avril 2013
samedi 20 avril 2013
La drague du jour
Je marche dans la rue.
Je suis enrhummée, une grosse écharpe de laine sur mon cou, les cheveux tirés, pas maquillée.
Bref, en mode pas glam.
Le clochard qui vit près de chez moi me regarde et parle à son entrejambe quand je passe près de lui :
"Surtout, ne te lève pas quéquette. Elle est mignonne cette fille, hein, mais ne te lève pas, tu vas lui faire peur."
...
Si ça, ça prouve pas que je suis irrésistible à toutes épreuves...
Je suis enrhummée, une grosse écharpe de laine sur mon cou, les cheveux tirés, pas maquillée.
Bref, en mode pas glam.
Le clochard qui vit près de chez moi me regarde et parle à son entrejambe quand je passe près de lui :
"Surtout, ne te lève pas quéquette. Elle est mignonne cette fille, hein, mais ne te lève pas, tu vas lui faire peur."
...
Si ça, ça prouve pas que je suis irrésistible à toutes épreuves...
lundi 15 avril 2013
La blague du jour
Tu connais la différence entre les épinards et la sodomie ?
...
Il n'y en a pas.
Dan les deux, il faut du beurre et les enfants n'aiment pas ça.
...
Il n'y en a pas.
Dan les deux, il faut du beurre et les enfants n'aiment pas ça.
jeudi 11 avril 2013
Le ? du jour
Je pousse furieusement, mes mains appuyées de chaque côté du mur.
J'ai la sensation que mon corps se déchire en deux.
Je pousse encore.
Des gouttes de sueur coulent le long de mes temps, rougies par l'effort.
Je dois avoir une de ces têtes...
Mon ventre est sur le point d'exploser.
Enfin, la délivrance.
Pfiou.
Tout d'un coup, ça va mieux là.
Je me retourne et je contemple mon oeuvre.
Au fond des toilettes, me regarde d'un air digne... Le général de Gaulle.
...
Oui, ami lecteur, j'ai rêvé que je faisais caca... Le général de Gaulle.
Vas-y, Freud, éclate-toi.
Moi, je démissionne.
J'ai la sensation que mon corps se déchire en deux.
Je pousse encore.
Des gouttes de sueur coulent le long de mes temps, rougies par l'effort.
Je dois avoir une de ces têtes...
Mon ventre est sur le point d'exploser.
Enfin, la délivrance.
Pfiou.
Tout d'un coup, ça va mieux là.
Je me retourne et je contemple mon oeuvre.
Au fond des toilettes, me regarde d'un air digne... Le général de Gaulle.
...
Oui, ami lecteur, j'ai rêvé que je faisais caca... Le général de Gaulle.
Vas-y, Freud, éclate-toi.
Moi, je démissionne.
mardi 9 avril 2013
Le mot du jour
La vérité fait mal.
Vieille femme aux cheveux noirs,
édentées, puant le bouc à 100 mètres à la ronde.
La vérité n’est pas belle.
Quand elle se dévoile à toi, l’effroi
fige ton cerveau, tes pupilles.
Vieille sorcière.
Elle est là, blottie derrière tes
illusions, pour souffler l’enchantement qui t'endormait dans le creux de ses
bras chauds et tièdes.
Près de toi.
Rester près de toi, toujours.
Comme si mon cœur, qui voulait
s’enrouler au tien, avait perdu une infime partie de sa
consistance.
C’est marrant, parce que je pensais
que je ne retrouverais pas cette sensation avant longtemps.
Que je serais plus forte, face à
l’angoisse et la vacuité de ma fragile existence.
Oui, j’allais aimer vivre, puisque
j’aimais et que je l’étais en retour.
Satiété d’une vie qui colle au
fantasme :
« Et ils vécurent heureux…
…
Mais ils ne savaient pas que la vérité
se cachait dans le château, qu’elle surgirait un jour ou l’autre.
Parce que c’est comme ça. La vérité compte les jours où elle se
révélera à toi. Et t’étranglera au petit matin, ses longs
doigts serrant ton cou et brisant ton souffle.»
On n’imagine jamais le tournant d’une
relation, tout un monde qui change soudain.
Il a suffit de lire, par
hasard, quelques mots sur un écran lumineux.
Comprendre, en quelques secondes, que
l’homme qui partageait ma vie depuis quelques temps, avait une
autre vie, avec une autre femme. Que cet homme était une autre
personne, que je ne connaissais pas. Le masochisme m’a poussé à
lire la conversation échangée en entier, révélation de leur
rendez-vous, des dates, découvrant les mots, des mots étrangers, dans lesquels je n'existais plus.
Et puis le froid qui s’engloutit dans
ma nuque.
Voilà, c’est fini.
Pourtant… Toujours là,
inexorablement présent, il respire encore… Il me donne du courage.
Je suis vivante.
Et ce putain d’enfoiré
d’espoir est presque plus fort que moi. Il est partout.
Dans les
yeux de mes amis, qui voit en moi un être merveilleux.
Dans les mots de Lucie Luce, et sa
colère contre celui qui m’a rendu si triste.
Dans les bras de ma famille, qui se pose autour de moi et me donne envie de vivre mille ans, ou plus..
Dans cette vie, cette chienne de vie
qui m'offre tant.
Et je me dis que je suis chanceuse.
J’aurais pu le découvrir bien plus tard.
Que c’est un signe de cette vie.
Ce n’était pas lui. Pas encore lui.
Je le rencontrerais un jour, l’être
de ma vie.
Et avec lui, j’oserais affronter la
vérité et son horrible visage.
Peut-être même qu’on deviendra
amies, elle et moi.
Qui sait ?
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Non, jdéconne toujours hein...