mardi 29 décembre 2009
The doors, Me voilà.
Pom Pom Pom, Bonne nuit les petits !
HéHooooo ! HéHooooooo !
Ok, heu... Comment vous dire, de façon classe, subtile, légère et sans vous brusquer...
Ce blog est mort.
Dead.
Finito.
Raide.
C'est comme ça.
C'est la vie. Enfin, la fin de la vie, plutôt.
La fin de l'année, par la même occasion.
La fin des vacances, aussi.
Et je n'ai RIEN foutu, mais alors, pas une.
Tous les trucs que j'avais mis de côté en me disant "Ouais, quand j'aurais du temps, je le ferais..."
MOUARF !
La glande totale..
Enfin bref, 2010, c'est l'année de la saucisse (flageolet).
C'est aussi l'année d'un nouveau blog, et c'est reparti !
...
Je cherche juste un nom pas trop pourri.
...
Ou pas.
Si vous avez des suggestions...
Bisous les amiches !!!
A l'année prochaine !
vendredi 13 novembre 2009
jeudi 5 novembre 2009
Il faut bien se dire Adieu
Je n’aime pas les enterrements.
Je ne me sens pas à ma place.
Ce que j’aime encore moins, c’est quand je dois réprimer un fou rire nerveux.
J’explique.
Le prêtre, que nous connaissons bien, a 70 ans bien tassés et possède un karma estampillé Pierre Richard, niveau III.
D’abord, c’est le CD qui a du mal à s’enclencher.
Puis qui sursaute.
L’avé Maria boîte, sous les doigts de son nouveau « DJ Catho ».
Ensuite, c’est l’ouverture de la mauvaise porte et le « Mais où est ce qu’ils sont passés ?! » de Prêtre Richard, adressé aux gars des pompes funèbres, qui se trouvaient donc de l’autre côté.
Mais surtout… Surtout…
C’est le chant.
…
Comment dire. Le prêtre chante très très mal et très très faux.
J’avais demandé à géniteur : « Il ne va pas chanter, hein ? »
Il m’avait dit : « S’il chante, je lui casse la gueule. »
Quand de sa voix chevrotante et abominable, les premières notes de « Ce n’est qu’un au revoir » se sont mises à sortir, je me suis caché dans mon écharpe.
Horrible.
Essais numéro 1 et 2 me regardaient du coin de l’œil.
Je me disais que j’allais faire semblant de pleurer.
Et qu’elle s’était cachée dans son mouchoir.
Me suis sentie moins seule.
lundi 2 novembre 2009
Enigme
Au lit, je t'emporterai.
De là, j'abuserai de toi.
Je te ferai frémir, suer,
Trembler jusqu'à ce que tu gémisses.
Je te ferai demander grâce,
Jusqu'à ce que tu me supplies d'arrêter.
Je te rendrai faible au point ou tu seras heureux que j'aie fini.
Et quand j'aurai fini, tu seras faible pour des semaines.
Question : Qui suis-je?
Ps : J'ai trouvé en deux minutes
lundi 26 octobre 2009
C'est tout ce que j'aime
Qu'est ce que c'est bien de faire ce qu'on aime.
vendredi 23 octobre 2009
Pour résumer.
J'ai envie de faire caca.
Je vais passer mon week-end à bosser.
J'ai pas rangé mes fringues propres et ça fait 8 jours qu'ils dorment avec moi.
Je contribue à la fragilisation des nerfs de Coloc d'amour (bien malgré moi).
Je songe a liquider les actionnaires de la RATP.
Ou à les torturer.
Lentement.
J'ai pleuré dans un taxi hier aux environs de 23 heures 30.
J'ai mangé bio dans un 4 étoiles.
J'ai rêvé d'une femme morte, retrouvée nue sur un parking et a qui on avait coupé la tête, les mains et les pieds.
Sinon, je dors bien ces derniers temps.
Mais pas assez.
Je n'ai toujours pas envie de bosser.
Pffffff.
J'ai environ 1 million de trucs à faire.
Et encore je suis large.
Il faut que j'apelle mes géniteurs.
C'est tout pour le moment.
mercredi 21 octobre 2009
Narcisse c'est moi
Bizarre.
Vous avez dit bizarre ?
Bizarre lorsqu'on s'imagine quelle va être notre vie.
Et qu'elle diffère totalement de tous les scénarios colorés qu'on a pu inventer.
Colorés ou noirs, selon l'humeur.
Enfin bref, je voyais tout très clair cette année.
Un nouveau boulot.
Une pièce qui va cartonner (... Ou pas).
Un emploi du temps explosif.
Et je m'étais habituée à être seule.
Enfin, pas le refrain "I'm poor lonesome cowboy" (Dujardin, que fais -tu ?)
Mais juste un vide dans le creux de mes draps que je comblais avec mon singe en peluche, qui, soi dit en passant, a admirablement survécu aux nombreux traumatismes sexuels que lui ont infligé Essais numéro 1 et 2.
Habitude douce teintée d'amertume.
Je m'y étais faite.
Je me disais que jamais je ne pourrais raconter une de ces histoires qu'on trouve un peu partout, style :
"Je n'y croyais plus et puis il est arrivé dans ma vie et depuis, c'est un vrai bonheur d'être deux. Enfin 8 avec nos lardons."
"Oui, l'amour existe vraiment. Il suffit d'y croire. Oui, je vous jure. Promis, juré, craché."
"J'étais déçu, j'avais vécu plusieurs histoires qui ne ressemblaient pas à grand-chose. Je me disais que ce n'était pas pour moi. Jusqu'à ce que je tombe sur elle. Avec mon tout- terrain. Et elle n'a même pas eu mal. En plus. Enfin, juste une jambe cassée."
Et autres dégoulinades déclarations sur papier parfumé.
Mais je ne le souhaitais pas.
J'étais fière d'être seule. D'être libre.
Un peu moins au fond quand la peau d'un autre commençait à manquer.
Putain d'hormones.
Je me sentais imperméable, invulnérable avec mon manteau de protection anti-sentimentalisme.
Je me voyais seule, maîtrisant jusqu'à la moindre de mes émotions.
Pas de "Comment s'est passé ta journée mon amour ?"
Ah non. Beurk.
Et.
Et...
Et ?
Je ris de moi aujourd'hui, de mes principes à deux balles, de mon orgueil.
Mais je ne ris pas jaune.
Ni rose.
Je ris. Avec l'Homme. Qui est venu, comme ça. Sans crier gare. Qui n'est pas encore parti.
J'arrête pas de lui dire de se matérialiser.
Il me dit qu'il est là.
Je dis impossible.
Il me dit : Si, si, je te jure.
Je dis prouve le.
Il me regarde. Vraiment. Comme rarement un bipède m'a regardé.
Et je me sens bien.
Parce que la fille que je vois dans ses yeux paraît être sublimée.
Et cette fille,
J'ai du mal à le croire,
et pourtant,
cette fille,
C'est moi.
mardi 20 octobre 2009
Fight Club
Première engueulade.
J'ai envie de pleurer.
ça faisait longtemps tiens.
Bref.
Je raconte.
Ce matin, le RER s'arrête.
"Mesdames, Messieurs, de la fumée s'échappe du train devant nous. Nous allons donc attendre histoire de... Bon, on va attendre quoi."
Gloups.
Je suis donc arrivée avec 30 minutes de retard... Plus 15 minutes à chercher vainement une place de parking pour ma rolls 4 vitesses.
Pas de places, rien, nada.
Je rentre dans le parking du personnel, et je me place devant une voiture grise, immatriculée 123456.
J'arrive et je dis aux collègues : "A qui appartient la 123456 grise ?"
"A moi", me dit patronne des AS.
Alors, je lui dit : "Ecoute, je suis désolée, j'ai du me garer devant toi, car promis, il n'y avait pas de places. Quand tu voudras partir, tu me feras signe ? Je la lèverais."
"No problemo", me dit patronne.
Rien de transcendant. N'est-ce pas ?
Et puis, tout à l'heure, Madame FC (Faiseuse de Cake) déboule dans mon bureau en me disant,
"Tu peux virer ta voiture s'il-te-plait?"
Moi, candide (enfin, presque) : "Oui, bien sur, je ne savais pas que je te gênais aussi."
"Mrgggrre..."
"... Tout va bien?"
Et là, pendant que je déplaçais la voiture, madame FC me hurle dessus.
Que je suis sans -gêne, que j'aurais pu me garer ailleurs car il y a 10 places à l'extérieur (ah bon?) et que j'avais pas intérêt à recommencer.
...
Devant ma responsable, qui est restée la clope au bec et un léger sourire (gêné?) au coin.
J'essaye une approche POLI et COURTOISE en lui disant :
"Ecoute, je n'avais pas l'impression de te gêner, je te promet que ce matin, je n'avais pas le choix, et j'ai demandé à Patronne si ça allait, qui m'a dit que oui. Et puis tu peux me dire les choses calmement. Accessoirement."
"GRRmrrrrgegrgggrr."
Le pire, c'est que j'ai dû faire 10 manoeuvres pour sortir. Ce qui l'a rendu hystérique.
Et qu'en plus, je ne la gênais pas. Vraiment pas.
("Au cas où d'autres sans gênes viendraient me bloquer", dixit FC).
Et qu'elle est revenue dans le bureau, à côté du mien, furax et me regardant de travers.
Et qu'elle doit faire mon interview demain pour le journal de l'hôpital.
...
Je lui dis que c'est une connasse ou elle le sait déjà ?
mercredi 14 octobre 2009
Plouf
Je vais à la pharmacie, juste en face de l'hôpital.
Je dis à la PPF (Pharmacienne Pas Funky) :
- " Bonjouuuur, voilà, j'ai très mal à la gorge, qu'est ce que vous pouvez me donner ?"
Et là, PPF me tend une boîte.... de suppositoires.
- "Heuuu... J'ai dit que j'avais mal à la gorge."
- " Et ben c'est très efficace ça, Mademoiselle."
Aaah ?
Je lis la boîte.
Effectivement.
Des suppos spécialisés dans le mal de gorge.
Incroyable.
Là, je tente une blagounette douteuse.
- "Hé ben dis donc, ils remontent vachement vite alors vos suppos ! Hahahaha !"
- "..."
- "Hahaha... Hem.. Bon, je les prends."
mardi 13 octobre 2009
Une nouvelle.
vendredi 9 octobre 2009
mardi 6 octobre 2009
Raaaa les réunions administratives.
"Hé, hé, si on crève tous avec la grippe A, il restera plus que Mr. S... pour s'occuper de l'hosto. HAHAHAHAHA!"
(Mr. S.... est le gars qui s'occupe de la morgue. Dois-je préciser que la blague est tombée à l'eau et qu'un long silence a suivi, le blagueur lançant des regards de soutien à tous avec un large sourire... Qui a finit par s'effacer ?)
Challenge
- Alors, j'ai commandé 10 000 masques en prévention de l'arrivée de la grippe A.
- Youhou !
- Mais heu... Le souci c'est que j'en ai reçu 200.
- ... Et le reste ?
- Et bien, normalement, on devrait le recevoir fin décembre.
- Aprés l'épidémie, quoi.
- Voilà.
Bon sens
- On est en train de refaire tous les volets de l'établissement.
- Et moi ? J'en ai pas eu !
- Vous avez des fenêtres ?
- Ah non, c'est vrai.
Investissement
- Bon, et le problème des fumeurs stagnant devant l'entrée ?
- Et si on leur faisait une petite cabane isolée ?
- T'irais fumer, toi, dans la cabane isolée ?
- Ben non.
- On a qu'a leur faire un labyrinthe, avec des indications à suivre !
- Dis voir, combien de temps ça fait que tu bosses ici, toi ?
- 17 ans.
- .... Ah ouais. Quand même.
Management
- M. Le Directeur, je n'ai pas de bureau, c'est presque du harcèlement.
- Ah non, ça va bien hein ! Je sors du tribunal, vous allez pas tous me faire chier ! Non mais des fois. Est ce que je vous oblige à vous déshabiller dans votre coffre ?! Hein ! Dites le !
- Heu... Non.
- Bon, alors, arrêtez de vous plaindre et retournez dans votre placar.. votre bureau.
lundi 5 octobre 2009
vendredi 2 octobre 2009
Travail, que vaille.
Parce qu'ils ont été méchants dans une autre vie et que le bon Dieu les a punit. Mais ils sont toujours aussi méchant, encore pire qu'une bouteille d'Orangina, parce qu'ils sont frustrés d'en avoir une petite.
Comment on fait pour éplucher une pomme de terre sans enlever la peau ?
Pourquoi les livres ont des pages blanches ?
C'est quoi une tomate ?
Pourquoi les motos on 2 roues et pas 4 comme une voiture ?
Pourquoi il faut se taire dans une bibliothèque et pas dans un supermarché ?
Pourquoi je suis capable de t'écrire "Je t'aime" à l'endroit mais incapable de le prononcer à l'envers sans faire de faute ?
Comment s'appelle un pigeon ?
T'as quelle heure à ta montre ?
Je suis monté dans une voiture à 4 vitesses, un hélicoptère, un tank de l'armée et un bateau restaurant. Mais jamais dans une Ferrari.
Entre toi et moi qui à le plus de cheveux ?
As tu des cotons tige chez toi ?
jeudi 1 octobre 2009
C'est celà oui
Le Directeur Général est en face de moi.
Juste en face.
Le temps passe, s'étire.
Je prends des notes, mais... J'ai faim.
14 heures et c'est toujours pas fini.
Mes yeux se ferment malgré moi.
Je lutte pour garder les paupières relevées. J'aimerai avoir une pince à linge sous le coude.
Au moment où j'étais un peu partie, sans même le sentir et que je réouvre les yeux, je vois le directeur, penché vers sa voisine de droite, l'air goguenard, me montrant du menton et me mimant en train de dormir.
Oh putain.
La montée d'adrénaline d'un coup.
Mais c'est trop tard.
Je crois que je suis marquée à vie.
J'ai simulé un malaise hypoglycémique (ce qui n'était pas faux).
Je ne sais pas si ça a marché.
...
Au moins, il a le sens de l'humour.
lundi 28 septembre 2009
Des images plein la tête
vendredi 25 septembre 2009
Cette sensibilité me tuera
jeudi 24 septembre 2009
Comment faire une blague pourrie qui tombe à l'eau ?
mercredi 23 septembre 2009
Petites annonces
Extraits
"Femme, 52 ans, mariée mais mal accompagnée"
(introduction intéressante)
" Frédéric, 42 ans, cadre, divorcé, vivant seul, 1 fille 13 ans pas à charge, 1m70, 65 kilos, timide, idéaliste, écolo, aimant presque toutes les musiques (piano), spectacles, rire, sorties, nature, mer, montagne, chats, dauphins, astronomie, astrologie, marche, natation, bicyclette, danse, réunions familiales, réunions amicales, restaurant, cuisine, cinéma, lecture, écriture cherche JF 25/40 ans, sans enfants, 1m54/1m68, corpulence moyenne, cheveux longs, noirs, non fumeuse."
(Manque de précision)
"Marre des soirées blabla, je veux du hot."
Suivie de
" JF cherche relation vraie et sincère pour amour partagé."
(Vive la diversité)
"Pr. DIA, Voyant, médium, compétent, spécialiste, Diplômé en problèmes sentimentaux, même les plus desespérés."
(J'ai toujours voulu faire cette option)
jeudi 17 septembre 2009
Pensée du jour
Ils ont tous la même marque de slip.
A part ça, au vu de l'hécatombe, une réplique pertinente est sortie tout de go :
"ça serait bien que les gens connus arrête de mourir un peu.
Ou alors qu'il fasse une sélection et c'est le public qui vote."
Trés bonne idée, Coco La Mouk, je plussoie.
mardi 15 septembre 2009
J'ai besoin de vacances
- D'ailleurs, hier, j'ai dormi 4 heures.
- La machin à café me demande de l'achever.
- J'ai attendu que Caca boy me rappelle.
- Caca Boy ne m'a pas rappellé.
- Pourquoi j'ai attendu d'ailleurs ?
- J'ai retrouvé une orange moisie et dégoulinante au fond de mon sac.
- J'ai pleuré devant Secret Story.
- Je me suis endormie avec mon sex toy à la main.
- Ma collègue de travail aime mon nouveau maquillage. C'est celui de la veille que je n'ai pas enlevé.
- J'ai sérieusement pensé à retrouver ED (Ex Dangereux) pour son anniversaire.
- J'y pensais encore il y a peu.
- Je ne sais même pas pourquoi.
- Je n'ai absolument rien ressenti à l'annonce de la mort de Mikael Jackson.
- Même si j'aimais bien Thriller.
- J'oublie une copine qui m'attend 20 minutes au bar, avec 2 verres à la main et qui ne peut entrer dans la salle de concert puisque j'ai les 2 billlets et que je suis en grande discussion avec un gars.
- Je n'ai pas apellé mon père le jour du triste anniversaire de la mort de ma grand-mère.
- J'ai rêvé d'un serpent noir, droit comme un I, qui se déplaçait en sautant dans ma chambre. Mes hurlements n'ont pourtant pas réveillé Coloc.
- Je lui ai demandé, le lendemain matin, si elle n'avait pas un piège à serpent, par hasard.
- Je pleure quand mon amie me dit qu'elle me laisse toute liberté de choix, sans me juger, qu'elle sera là, quoi que je décide.
- Je pleure quand Comtesse répond à mes appels tardifs et dépressifs à répétition, qu'elle s'arrête de peindre des lettres sur son armoire pour m'écouter. Patiemment.
- Je pleure quand Beau papa ne bronche pas quand je lui impose mes horaires de train et qu'il me dit : "tu arrives à 18 heures ou à minuit, je serais là."
- Je pleure quand je vois les gens autour de moi.
- Je trouve que j'ai trop de chance.
- Je suis épuisée.
- J'ai besoin de dormir. De vacances. De partir. De romances.
PS : c'est un vieux texte, qui date de juillet. Plus trop d'actualité.
This is the end
L'heure est grave.
Patrick Schwayze sera trés convaincant dans Ghost 2, comme le dit trés justement cousine.
Et s'il était à la recherche de LA vague, moi je suis à la recherche d'un nouvel endroit pour écrire.
Chacun ses objectifs, hein.
Je ne m'apelle pas Johnny Utah. Et je ne m'apelle désormais plus Liliiom.
Et oui, c'est comme ça.
Je change de pseudo.
Car Liliiom ayant été utilisé à tort et à travers, une belle piste fluorescente a été tracée afin de parvenir jusqu'à moi. Enfin le vrai moi.
Je suis pas trés clair, non?
Bref, je change de chemise, de pseudo, de culotte, de couleur de cheveux, de prof de sport et tout le tintouin, car je ne veux pas qu'on sache qui je suis, ni qu'on me reconnaisse à l'odeur.
Je veux écrire librement (oh putain).
Mon nouveau blog, le troisième du nom... Va naître incessament sous peu (les contractions d'inspiration se rapprochent de plus en plus).
Pour les lecteurs assidus de mes chroniques (autrement dit maman et Freddy le chien), je vous envois la nouvelle adresse de ma Vi"e"rtuelle à la demande, M'sieur, Dame.
N'hésitez pas à me le demander.
Ou pas.
Ravi d'avoir pu écrire toutes ces conneries, les enfants.
Et vous savez quoi?
C'est loin d'être fini.
Cause I've had the time of my life.
Fallait que je la case celle là.
jeudi 20 août 2009
Mais cool quoi
Et les messages clairs et concis que je reçois.
Midooo — jeudi, 20 août 2009 00:45
hello my life ti adorable et belle
Midooo — jeudi, 20 août 2009 00:46
tu si jaime grave trouvé une femme de ma vie belle com toi
Midooo — jeudi, 20 août 2009 00:48
ayam sorut véry je vé yaler my life slt contacte moi parte msn machine@hotmail.com thanks et bon soiré
...
Je suis irrestible.
samedi 15 août 2009
The ultimate
Avant de mettre à mort mon ancien blog et de faire naitre mon nouveau blog,
je souhaitais finir en beauté comme on dit.
Je vous donne une bonne raison de cesser d'aller sur les sites de rencontres.
Ou de bien rire quand on tombe sur un malade.
Conversation du jour en intégralité.
Régalez vous.
Olivier- — 13:54 bonjour laeti
Olivier- — 13:59 tu veux pas qu'on fasse connaissance ?
Laeti — 14:02 Non, merci. Bonne journée!
Olivier- — 14:07 une qui me réponds et pour me dire ça, les filles vous etes bien toutes les memes
Olivier- — 14:07 pensez toutes qu'au sexe
Olivier- — 14:07 bye
Olivier- — 14:07 inutile de me répondre je ne lirais meme pas
Laeti — 14:08 Pas besoin de le prendre comme ça et d'être susceptible.
Olivier- — 14:08 je suis pas suceptible marre des nanas, marre toutes les memes
Olivier- — 14:08 j'ai été violé moi
Olivier- — 14:09 on a profité de moi aussi
Olivier- — 14:09 aucune femme à de la douceur ici
Olivier- — 14:09 vous pensez toutes à largué
Olivier- — 14:09 jeté
Laeti — 14:09 Non mais t'es malade !
Olivier- — 14:09 de demandé des choses sans jamais donné
Laeti — 14:09 Allez vas y défoule toi
Olivier- — 14:09 va y oui c tout ce que vous savez me dire que je suis un malade
Laeti — 14:09 je n'y suis pour rien, de ce que tu as vécu avant!
Olivier- — 14:09 merci j'ai été violé et c tout ce que tu sais me dire
Olivier- — 14:10 oui mais je suis pas un malade
Laeti — 14:10 mais enfin, tu as vu comment tu m'agresse !
Laeti — 14:10 en me balançant que tu as été violé !
Olivier- — 14:10 fou moi la paix avec tes mots violents
Olivier- — 14:10 parce que marre maintenant
Olivier- — 14:10 je me défend maitennant
Laeti — 14:10 c'est toi qui est violent !
Olivier- — 14:10 non c toi
Olivier- — 14:10 tu ne t'entends pas
Laeti — 14:10 hé bien tu as raison ! Que veux tu que je te dise..
Olivier- — 14:10 je pleure là pour la première fois une femme sur le net me fais pleurer
Laeti — 14:10 je ne suis pas responsable de ce que tu as vécu
Olivier- — 14:11 si là de comment tu me parle tu en es responsable :-(
Laeti — 14:11 ????
Olivier- — 14:11 Fous moi la paix handicapé du coeur
Olivier- — 14:11 je lis plus
Olivier- — 14:11 adieu
Laeti — 14:11 Attends, tu dois bien rire devant l'écran
Laeti — 14:11 j'espere que tu te marre bien
Olivier- — 14:11 tu veux voir mon visage là ?
Laeti — 14:11 non
Olivier- — 14:11 tu voudrais le voir ?
Laeti — 14:11 non !
Olivier- — 14:11 tu me crois pas ?
Laeti — 14:11 Non, je ne te crois pas
Olivier- — 14:11 Mais tu es une ordure ?
Laeti — 14:11 Non, je ne pense pas.
Olivier- — 14:11 T'es une chienne tu ne me crois pas
Laeti — 14:12 Arrete de m'insulter
Laeti — 14:12 Allez stop
Laeti — 14:12 On arrête
Olivier- — 14:12 attends prends mon msn, juste pour que tu vois que tu as tord de pas me croire
Olivier- — 14:12 et que tu mas fait chialé
Olivier- — 14:12 tu verra
Olivier- — 14:12 va y regarde moi
Laeti — 14:12 Tu chiale tout seul, pas besoin de moi
Olivier- — 14:12 juste msn le temps que tu vois que tu as tord
Laeti — 14:12 non !!!
Olivier- — 14:12 tu es une chienne de pas me croire
Olivier- — 14:13 je suis pas comme 99 % des mecs ici des malades
Olivier- — 14:13 je suis un mec normal
Olivier- — 14:13 et vous vous etes toutes pourri ici
Laeti — 14:12 Je suis pas ton bourreau
Olivier- — 14:13 stop fou moi la paix
Olivier- — 14:13 je ne te lirais plus jamais
Laeti — 14:13 Je ne demande que ça ! Arrêtons de se parler, on sera content tout les deux.
Olivier- — 14:13 merci tu as que des qualités à ce que je vois
Olivier- — 14:14 tu verras pourquoi tu resteras tout le temps seul avec tant de gentillesse
Olivier- — 14:14 toutes les memes sans rien dans le coeur
Olivier- — 14:14 à meme pas me croire je le mets dans ma prochaine chanson, tu veux que je te
donne mes myspace ? parce que ça non plus tu ne me croiras pas
Olivier- — 14:15 pfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff tout ça parce que 99 % des mecs mentent eh bien tu me fais subir tout ça
Olivier- — 14:15 on avais quoi à perdre à essayé de faire connaissance ? je me défend juste j'ai jamais fait de mal à qq ni meme à une mouche
Olivier- — 14:15 mais c fini maintenant je me défends
Olivier- — 14:16 tu me lis meme pas parce que tu peux avoir honte d'avoir fait pleurer un garçon et en + tu ne le crois pas, pire meme pas en voir la preuve
Olivier- — 14:16 tu n'as rien dans le coeur rien :-( TOUTES LES MEMES TOUTES !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! MARRE DES FILLES AGRESSIVES :-(
Olivier- — 14:19 TU FINIRAS SEUL A ETRE AUSSI MECHANTE :-( MA PROCHAINE CHANSON JE SAIS QUOI METTRE TKT PAS , ADIEU, et merci de pas m'avoir cru femme parfaite
Olivier- — 14:21 cette fois ci c fini je te lirais plus jamais et jamais je veux te croiser, j'arrete pas de pleurer, en + tu ne me crois pas, tu es immonde
Olivier- — 14:21 adieu cette fois, je te lis plus
lundi 29 juin 2009
Dialogues du matin
Je sors, tout aussi fraiche, avec des cernes qui me mangent le visage.
Coloc : Salut.
Moi : Salut.
Coloc : Bien dormie ?
Moi : Non. Je pensais à trop de truc et il fait trop chaud.
Coloc : A quoi tu pensais ?
Moi : Au boulot. Et aux mecs. Au truc stressant et au truc manquant.
Coloc : Ah ouais. Dur.
Moi : Et toi, t'as bien dormie ?
Coloc : Non, carrément pas.
Moi : Pourquoi ?
Coloc : Y'a des trucs qui me prenaient la tête.
Moi : Quoi donc ?
Coloc : Ben le boulot. Et les mecs.
Moi : Evident.
Donc, solution : avant de me coucher, penser à tout sauf au boulot et aux mecs.
...
Chaud.
dimanche 28 juin 2009
Une soirée romantique
Oui, je m'obstine, et alors ?
Attention, âme sensible s'abstenir.
Invitée chez une soirée entre copines où, entre le plat principal et le dessert, on a parlé de sodomie (mais pourquoi, Good lord, cherchent t'ils toujours à entrer par effraction par la petite, ou grande, tout dépend, porte de derrière ?), entre autre, je m'en vais me connecter sur mon site préféré.
Là, un homme (Hey les filles venez voir) me parle.
Et me dit qu'il m'a déja vue.
Moi : Où ça ?
Lui : Le vendredi 12 juin à 18h32, dans telle rue (celle où j'habite).
Moi : ... Tu peux être plus précis ?
Enfin bref, c'était étonnant, car, il ne pouvait pas savoir mon adresse, et j'étais bien dans cette rue et dans cette tranche horaire.
Aprés être allée aux toilettes, mes copines en profitant pour changer mon statut facebook en " En train de sucer des queues... De cerises!", je rentre chez moi et apelle Monsieur l'observateur (oui, j'avais son numéro).
Assise sur le trottoir, j'apprends que nous sommes voisins.
Ben viens, retrouvons nous sur tel banc, et amène de la vodka steuplait.
Ce qu'il a fait.
Quand il est arrivé, j'ai vu un petit brun muy charmant, mignon et affable.
Ahlalala....
On s'installe sur un banc, il sort la bouteille de coca, contenant plein de vodka, et nous échangeons des mots jusqu'à 4h du matin et des poussières.
Les policiers entre temps sont passés et se sont arrêtés juste devant nous.
MC (Mignon Cuistot) me chuchote au creux de l'oreille : "Tu as tes papiers?"
...
Je crois que j'ai ma carte Séphora, ça ira ?
Mais 2 petits blancs qui boivent du coca ont peu de chance de se faire contrôler, n'est ce pas...
Bref, tout d'un coup, j'ai une envie folle de pisser.
Mais vraiment. J'ai quand même marché 10 minutes pour arriver jusque là.
MC me dit qu'il habite ici, juste en face du café où Tarentino a tourné une scène pour "Inglorious Bastards".
Ahlalalala....
Donc, je vais chez lui.
Oui, je sais.
On monte jusqu'au premier, j'avais déja commencé à déboutonner mon pantalon et je criais " Viiiiite, viiiiiiite !" (Classe intégrale).
Il me montre la salle de bain, je m' engouffre et au moment de baisser mon pantalon, je m'arrête net.
.
Qu'est ce qui m'a freiné tout de go ?
Les toilettes étaient décorées de merde.
Des petits cacas un peu partout.
ça m'a stoppé cash.
Puis j'ai eu envie d'éclater de rire.
Puis je ne l'ai plus du tout trouvé mignon, mais je l'ai imaginé en train de faire sa Valérie Damidot au fond des gogues.
Puis, j'ai quand même fait pipi, en faisant un rouleau protecteur de papier toilettes.
C'est bête, pourtant, tout le monde fait caca.
Mais ce n'est pas trés glamour de le rapeller de cette manière là.
Je l'ai rejoins dans le salon, l'air de rien.
J'arivais pas à m'empêcher de l'imaginer sur le trône.
De MC, on est passé à MC.
De Mignon Cuistot ... à Mignon Caca.
Enfin, je suis un peu restée, beaucoup partie.
A 5h 30 du matin.
Il n'y avait personne dans les rues, et le soleil se levait.
Pour le coup, c'était un beau moment.
Nous devions nous revoir le lendemain soir.
Mais Caca Boy ne m'a pas rapellé.
Peut-être que mon destin est de ne pas rester avec un homme qui laisse traîner ses étrons.
Peut-être...
lundi 15 juin 2009
mardi 9 juin 2009
Voilà
Je me sens comme une grosse merde.
Une conne.
M'a t'il pris pour une conne ?
L'ai je vraiment été ?
Je crois que c'est un peu des deux.
En fait, je cache ma connerie derrière une naiveté et une persistance à ne voir que le bon chez les gens.
ça me rapelle de mauvais souvenirs d'ailleurs...
Deux solutions.
Soit je ne veux pas voir le mal où bien tout ce qui se peut se cacher derrière. Alors, je ferme doucement les paupières et je dis : Ne t'inquiète pas, je ne le vois pas, le monstre, le chien, qu'il y a en toi.
Soit je ne le vois vraiment et sincèrement et simplement et connement pas.
Je suis incapable de le détecter.
J'ouvre les yeux et pourtant je ne vois que du rose, du blanc, du bleu.
Mais alors, comment aurais je survécu jusque là ?
Dieu a du voir à quel point je plane. Et comme je n'ai pas d'ailes et que je peux me casser la gueule à tout moment (et que voler sans ailes, c'est comme un plat de spaghettis sans boulettes,
c'est risqué), à défaut d'ailes, il m'a doté d'un cul incroyable.
Et je ne parle pas du volume, certes présent, de mon confortable derrière.
Mais du symbole qu'il incarne.
Ou de comment, quelques mois plus tard, en parlant à coeur ouvert, et un peu par hasard avec une amie, que...
Ah mais en fait ?....
Ah d'accord.
Il m'a menti.
Pipeau.
Pipeau.
Pipeau.
TUTUTUTUTUTUTU.
Moi, j'étais la blonde à côté qui écoutait. Et qui faisait : Oooh, c'est chouette cette musique.
Et je persiste en plus.
Mon égo à chu.
ça a fait : ploc ploc quand il est tombé en liquéfaction sur le sol.
ça m'apprendra.
Enfin, disons que la prochaine fois, je m'habituerais.
J'aime pas ça, moi, ce rôle de victime que cette histoire voudrait me faire jouer.
J'ai juste été naive.
C'est tout.
J'ai juste voulu croire en une amitié sincère et vraie.
Et pas à une pathétique utilisation de ma personne à des fins que j'ignorais hier encore, des bouts d'histoire se baladant dans le cosmos.
Vaut il mieux ne pas savoir ?
Parce que du coup, les moments passés n'ont plus la même couleur, ni la même odeur.
Comme s'ils avaient reçus une sale éclaboussure quand la vérité a été dite.
Maintenant, je joue à me faire des dialogues la prochaine fois que je verrais ce fieffé personnage.
C'est un truc que je fais souvent, m'imaginer des dialogues à l'avance avec quelqu'un.
ça ne se passe jamais comme je l'avais imaginé d'ailleurs.
Peut-être que dans ce genre de cas, le mieux, c'est d'éviter un dialogue.
Et de se tourner vers d'autres histoires, et d'autres personnes.
On verra.
On verra bien.
lundi 1 juin 2009
Comment lui dire
What the Fuck ?
Demain
Mes quêtes sont multiples et périlleuses.
Il faudra que j'affronte le DRHagon infernal qui garde les pièces d'or en lui plantant mon bâton de FD (Future Diplômée) dans la gueule, car j'ai quand même 7 poins de dégâts avec ça.
Après, je sortirais ma clé dorée pour accéder au cinquième niveau et récupérer de la force en buvant un bon Kawa avec mes alliés, qui me prodigueront leurs précieux conseils.
Et puis, en dernier ressort, je devrais trouver le grand mage, dans les limbes du labyrinthe du dernier monde, Administratorian.
Parce que le grand mage, même s'il est à l'arrache et ne comprends rien, il peut changer les règles du jeu et me donner, enfin, ma destinée.
Il a une espèce de gardienne bizarre qui répète indéfiniment les mêmes tâches.
Surtout, ne pas lui parler, car elle t'englues pour toujours dans le mode FRAF (Fonctionnaire Rien A Foutre), et après, tu ne peux pus bouger et tu peux mourir de faim."
...
Faut que j'arrête les jeux de rôles moi.
vendredi 29 mai 2009
La victoire dans la défaite
D'abord par un mec. Qui ne me plaisait pas.
Ensuite par mon boulot. Qui ne payait pas assez.
C'est moi qui gagne, là, non ?
mercredi 27 mai 2009
Ballon de Nostalgie
C'est un peu comme une grande robe de laine.
Parce que mon père, non seulement, c'est le plus fort, mais il est aussi et surtout plus grand et plus large que moi.
Du coup, je flotte un peu dedans, et ça me plait.
Il a deux trous dans le dos, à cause des mites boulimiques.
Et surtout, il a cette odeur.
Ce truc que les vêtements des famille transportent.
C'est fou comme l'odeur des fringues, ça traverse tes narines et ça te balance direct des images dans la tête.
J'aime bien.
Y'a des fringues comme ça.
ça me fait penser au caleçon de l'EX copain d'essai numéro 1.
Le fan de Tony Montana.
Sans déconner, on sait pas pourquoi, mais ce caleçon a été porté par toute la famille.
Par toutes les soeurs, par nos copines, par mon ex.
On peut dire qu'il en aura vu des culs, ce caleçon.
Il se balade tranquille.
Bon, là, on sait pas trop où il est.
Dingue comme destinée de fripe.
mardi 26 mai 2009
jeudi 23 avril 2009
Double Kinder
dimanche 19 avril 2009
International
Alors que ça fait 4 jours que l'appart est squatté par un allemand et une suédoise.
D'ailleurs, je ne sais plus qui m'a dit qu'en ce dernier siècle, on a fait la guerre contre les allemands, alors qu'on s'entend plutôt bien, entre nos deux peuples.
A l'inverse, les anglais ont été nos alliés, alors qu'ils ne peuvent pas nous piffer.
Ils parlent de "Frog Invasion", lorsque des billets eurostar sont en promo.
Nous, on parle de roosbif.
Des fois, les relations ne sont pas vraiment logiques.
On va détester nos alliés.
On va cotoyer des étrangers.
On va ignorer des voisins.
Moi j'ai un peu du mal à comprendre tout ça.
dimanche 5 avril 2009
T'aurais pas changé un truc toi ?
Mesdemoiselles.
Si les hommes ne remarquent pas que vous avez changé de coiffure, ce n'est pas parce qu'ils ont une couille entre les deux orbites.
Non, il y a une explication scientifique à celà.
Les hommes, lorsqu'ils regardent un objet, une personne (tiens, par exemple, leur femmes), ne font travailler que l'hémisphère droit de leur cerveau.
En ce sens, ils vont davantage regarder l'ensemble, et pas les détails.
Ce qui est tout l'inverse d'une femme, qui fera travailler ses deux hémisphères, et ne manquera pas de déceler quasi instantanément une couleur légèrement différente ou une raie située à gauche plutôt qu'à droite.
Hé ben voilà, tout s'explique.
Peut-être qu'on aura aussi l'explication de la lunette des WC perpétuellement relevée ?
J'en propose une : les hommes sont des gros glandeurs qui ne remettent jamais rien à leur place et vous traite de maniaque quand vous leur faites gentiment remarquer.
Pardon ?
Moi, aigrie ?
Non, pas du tout.
Juste la perspetive d'une semaine atomique.
J'entends : travail de 9h30/18h30, 3h de transport, ce qui fait 7h/21h en dehors de chez ouam, et je rajoute les cours du soir, donc, ça me fera 7h/22h30.
15h30 de journée pleine.
...
Si je me refais une deuxsomnie, je serais décalquée.
Vivement les vacances.
vendredi 3 avril 2009
I Love The Crise !
Pour me faire plein de fric, j'ai décidé d'inventer une chose extraordinaire que même que c'est trop de la bombe de boule :
Le grattoir épilateur !
Tu grattes le givre sur ta voiture le matin, et hop, hop, hop, un petit coup sous l'aisselle pour enlever les poils.
Et la peau aussi avec.
Tadaaa !
Je ne sais pas pourquoi on n'y a pas pensé plus tôt.
Parce que moi je dis, la crise, elle est cool.
Pourquoi tout le monde lui tape dessus d'abord ? Alors qu'on fait même pas l'effort de mieux la connaître. Sous ses airs de petite garce, je suis sûre que la crise, elle en a gros sur la patate.
Tout ce qu'elle veut, c'est vivre tranquille, avoir un petit mec et puis c'est tout.
Alors, vive la crise!
La crise, c'est bien.
Une crise, et ça repart !
Crise ! Deux doigt coupe faim !
Crise... What else ?
La crise rafraichit l'haleine, et pour longtemps.
La crise, ce n’est que pour les enfants !
Allez hop, on y va ! En route pour la grande crise ! 1, 2, 3, c'est parti!
La crise, parce que je le vaux bien !
A quoi ça sert la crise si on peut rien faire dedans ?
...
Sinon, je suis dans un de ces jours où j'ai l'impression que je n'ai pas d'avenir.
Que je m'en sortirais pas et que je suis toufu. Ou foutue.
Bref.
Ce qu'il faut, la clé des champs, c'est ce concrétiser.
Vraiment.
Hé ben allons-y, c'est parti mon kiki.
Kiki.
Ki Ki Ki sont les snorkies ?
D'accord, ok, heu, la sortie c'est bien au fond à gauche ?
mardi 31 mars 2009
lundi 30 mars 2009
Belle semaine
- Tu t'amènes le lundi matin, direction les urgences car ta meilleure amie, la cistite, a décidé de s'installer au creux de tes reins.
- Tu essaies de te cacher malgré les gens qui passent et te saluent, l'air étonné de ne pas te trouver à ta place : "Oh ben tiens ! Qu'est ce que vous faites là ? C'est pas vot' service !"
- Tu tentes, la mèche collée au front de sueur, la main inutile posée sur le bas ventre, de trouver une explication amusante : "Oh ben j'avais envie de me poser aux urgences, histoire de voir ce que ça fait et de me mettre dans la peau du personnage qui patiente, introspection intérieure, tout ça quoi..."
-Tu tournes délibérément la tête car le Beau Garçon Brun (BGB) du 5ème passe avec une patiente, pour ne pas qu'il te voit,
- Tu entends la voix du Directeur du service (sic...) qui hurle "Aaaah Mlle G....., je vous cherchais justement !" Et tu vois BGB qui tourne la tête et fronce les sourcils en te reconnaissant.
Là, te reste plus qu'a tenter de faire pipi dans un pot minuscule en évitant de trop trembler à cause de la douleur.
A attendre que ça passe, avec collègue qui t'amène des litres d'eau, tellement que ta vessie doit ressembler à un ballon de foot.
Et à prier pour que la semaine se finisse aussi bien qu'elle a mal commencé.
Yepee...
vendredi 27 mars 2009
Aïe...
mardi 24 mars 2009
C'est fou.
Depuis lundi, 8 heures, j'arrête pas de pêter.
Incroyable.
Mon ventre aurait-il décider d'évacuer envers et contre tous cet air que je n'aspirais qu'à taire ?
Mes effroyables pets ne seraient-ils pas le reflet d'un trop plein de vide ?
Moi qui me croyais seule dans le bureau, et lachant une petite bombe malodorante, ne voila t'il pas que le Directeur himself vient pour me demander quelquechose (dont j'ai toujours rien compris d'ailleurs) ?
...
Il m'a dit, en reniflant : "Tiens, ça sent le poulet cuit chez vous. Ce sont les odeurs de la cuisine qui remontent?"
...
"Oui, monsieur le Directeur, je voulais vous en parler, c'est insupportable, vraiment..."
Sinon, je rejoue samedi soir.
Je suis quasiment sur que je ne pèterais pas.
dimanche 22 mars 2009
Si seulement
mardi 17 mars 2009
Enfin
Lorsque le notaire Lebel fait aux jumeaux, Jeanne et Simon MARWAN, la lecture du testament de leur mère Nawal, il réveille en eux l'incertaine histoire de leur naissance : qui donc fut leur père, et par quelle odyssée ont-ils vu le jour loin du pays d'origine de leur mère ? En remettant à chacun une enveloppe, destinées l'une à ce père qu'ils croyaient mort et l'autre à leur frère dont ils ignoraient l'existence, il fait bouger les continents de leur douleur : dans le livre des heures de cette famille, des drames insoupçonnés les attendent, qui portent les couleurs de l'irréparable. Mais le prix à payer pour que s'apaise l'âme tourmentée de Nawal risque de dévorer les destins de Jeanne et Simon.
lundi 16 mars 2009
La grande classe
Bref, il ne respectait pas vraiment l'espace vital socialement acceptable.
Et moi, j'aime pas ça, les gens qui font exprés, ou pas, de te parler dans la figure.
Alors je lui ai dit : "ça sent l'oeuf pourri quand tu parles."
Là, il m'a attrapé par le cou, et il m'a approché de sa bouche et il m'a roté dessus.
Là, comment dire, j'ai eu envie de le frapper trés fort, parce que c'était vraiment horrib.
En plus, il me dit qu'il a la classe.
Haleine d'oeuf ne sait pas à qui il a affaire.
Car moi, je suis un peu comme les réactions d'Odile Deray, je suis à retardement.
Je me dis qu'il faut une réponse graduée.
Je cherches, mais je finirais bien par trouver.
vendredi 13 mars 2009
La grande question existentielle
mercredi 11 mars 2009
Plouf
Et c'était pas très ragoutant, comme tu peux l'imaginer.
vendredi 6 mars 2009
Demain
Oui, là, je suis à fond dans la procrastination.
Ou "tendance psychologique à toujours tout remettre au lendemain."
Genre, des numéros de téléphone, avec le nom des gens dessus que je dois apeller (depuis 2007 quand même, serait temps que je fasse quelquechose).
Les mails ou les textos auxquels je me dis : je répondrais plus tard. Aprés j'oublie (purée mais c'est qui elle déjà ? Elle me propose d'aller boire un verre... Le 17 aout 2004. Bon, demain, je lui réponds).
Demain, je ferais du sport (j'irais courir, 30 minutes par jour. Je commence demain. Oui, là je suis super motivée. Tiens, 6heures du mat'. Pourquoi j'ai mis le réveil plus tôt moi? Ah ouais, c'est vrai, ma résolution débile d'aller me cailler les miches et de courir le matin dans les rues désertes et froides... Bon, allez, demain, promis, je me motive, là je me rendors juste une petite demi heure...).
Demain, je supprimerais mes comptes internet de site de rencontre (Bon, je regarde juste mes messages. Je réponds, mais aprés je supprimerais tout...).
Demain, je travaillerais sur la pièce de théatre que je rêve de monter (En plus j'ai plein d'idées...Que je noterais demain).
Demain, je lirais de l'anglais tous les jours. Pour aller un jour à New York.
Demain, je me pousserais à écrire tous les jours sur mon blog. Ha ! Ha !
Non mais là, j'atteins les limites de la maturité...
Enfin, je les toucherais demain.
Enfin, j'essaierais...
samedi 28 février 2009
Se relever
Je reste bouche bée devant tant de courage, devant ce recul sur soi.
J'ai tendance, comme beaucoup de mes comparses, à pleurer sur mon sort, et ma petite personne.
Ensuite, quand on prend conscience de cette force qui peut exister chez les autres, force qui nous manque parfois, on pense à Einstein, et sa théorie de la relativité.
dimanche 22 février 2009
ça suffirait peut être les conneries dis donc.
vendredi 20 février 2009
lundi 16 février 2009
Tout ce que j'ignore
Ce que je ne sais pas est un millions de fois plus grand que la goutte d’eau de ce que je sais, de ce que j’appréhende.
Par exemple,
Hier encore, j’ignorais que cet homme, avec qui je travaille depuis 6 mois, était très malade. Hier encore, j’ignorais qu’il était marié.
Hier encore, j’ignorais qu’il n’était plus en vie.
Nous devions faire une présentation devant notre promotion.
Le mercredi, vers 23heures, nous nous échangions encore des mails.
Il est mort dans la nuit. Quelques heures plus tard.
Je n’avais plus de nouvelles le jeudi, jour de la présentation.
Le soir, il n’est pas venu en cours, et j’ai râlé contre lui.
Bien sur, je ne savais pas.
Enfin, le lendemain matin, notre professeur m’appelle sur mon portable pour m’annoncer son décès.
J’ai compris, mais je n’ai pas compris en fait.
Mon petit cerveau avait assimilé cette information, mais il n’arrêtait pas de dire dans le même temps : c’est impossible.
Donc, je ne verrais plus cette personne, je ne lui parlerais plus, je ne lui écrirais plus de mails.
Pour le coup, ça me donne vraiment l’impression que la mort, cette garce qui nous attend patiemment au bout de la route, s’amuse quelquefois à faucher, juste comme ça, des gens.
D’un coup.
Rupture d’anévrisme.
Accident de voiture.
Crise cardiaque.
Overdose.
Suicide.
Meurtre.
Il est encore là, et une seconde plus tard, il ne l’est plus.
Forcément, on se rend compte de tout ce qu’on ignore, tout ce à quoi on évite de penser, par peur.
Et quand quelqu’un te rappelle cette peur, la petite boule au ventre se réinstalle confortablement, et te fait bien comprendre qu’en fait, elle n’est jamais partie.
Quelque fois, ces idées noires reviennent. Me taquinent. A quoi bon, hein, si de toute façon, c’est pour finir en petite molécules de poussières ? Comme si tu n’avais jamais existé. Comme si tout ça, finalement, ça ne comptait pas.
J’ai besoin de me ressourcer je crois.
J’aimerais bien croire à nouveau, mais il va falloir un tout petit peu de temps.
En plus, mon réveil lumière, possédé par les forces du mal, a décidé hier de transformer ma petite chambre sous les toits en discothèque de bas étages.
Sympa le stroboscope à 4 heures du matin.
Sympa aussi l’air froid de l’hiver qui m’a mordue les joues, les bras et le visage quand j’ai ouvert ma fenêtre pour y jeter ce putain de réveil.
Mais il m’a regardé larmoyant et je n’ai pas pu.
Je l’ai mis sous mon lit.
Ça donne l’impression qu’un ovni va en sortir, c’est sympa aussi.
mardi 3 février 2009
Philips
D'un coup, il y a un soleil dans ma chambre, avec des bruits d'oiseaux. Puis, plus rien.
C'est une putain d'anarchie, de révolution.
C'est légèrement pénible, un réveil qui est capable de te foutre une boule de feu sur la gueule quand il en a envie.
Je le préférais en capitaliste soumis.
Disons que c'était plus confortable.
dimanche 1 février 2009
J'ai cru que j'allais mourir
On s'est même dit qu'on allait se faire un karaoké, histoire de chanter du Cloclo jusqu'au dernier métro.
Benvenuto
Une bière gratuite offerte pour chaque
visite.
Non, jdéconne toujours hein...